Comment passer du (bon) temps en Tunisie…

Suivez les pérégrinations de Jasmin grâce à « SPOT » (cliquez)La balise est à jour même quand le texte en dessous est ancien. 

 

Petit résumé (trop rapide j’en conviens) de notre belle virée en Tunisie, où nous avons (re)découvert Tunis et Kairouan, ainsi que les magnifiques villes antiques de Dougga, Sbeitla et El Djem.

 

La capitale tunisienne est une vraie ruche, toujours en activité, en mouvement : voitures, mobylettes, camions, piétons et taxis se croisent, se frôlent, se bousculent au risque de se fracasser l’un l’autre…

L’armée et la police veillent toujours depuis les terribles attentats de 2015 et les grands magasins ont leur service de sécurité. Ambiance…A Paris on y est habitué

Petit détour à la cathédrale qui est toujours en fonctionnement. Beaux vitraux en rosace dans le transept…

 

La cathédrale

 

Le théâtre

 

Les souks.

Nous y avons visité deux médersas (écoles coraniques) qui sont souvent oubliées des circuits touristiques

 

 

Nous n’avons pas vus beaucoup de touristes mais les statistiques montrent qu’ils reviennent dans le pays… Tant mieux !

 

Chéchias sur leur forme

Dans le souk aux chéchias un petit pépère dans sa belle boutique datant de 1924 nous a expliqué tout le travail de fabrication de ces coiffes d’hommes, plus vraiment utilisées de nos jours.

Tricotage de grands bonnets en laine blanche puis feutrage par chauffage, moulage sur une forme en bois ou terre cuite et enfin, teinture (rouge) pour parvenir au bout de 4mois à faire la chéchia. Aujourd’hui trop chères et hors mode…et concurrencées par celles de Chine !

 

 

Nous avons fait l’achat de belles foutas, fameuses serviettes de bain en coton servant à l’origine pour le hammam.

 

 

 

Super repas de côtelettes d’agneau grillées servies avec une méchouia aux poivrons grillés et salade tunisienne faite de tomate, concombre, olives et oignons, coupés en petits morceaux.

Salade mechouia

Un régal : pour une fois la viande était à point côté maturation et non pas fraîchement travaillée.

 

§§§§

Ensuite cap sur Kairouan par 45° : chaud, chaud la visite !

La magnifique Grande Mosquée est ouverte aux non-musulmans sauf les salles de prière évidemment…

La grande Mosquée

 

 

Impossible de repartir sans avoir goûté aux délicieux makrouds, LE gâteau de Kairouan, à base de semoule et datte

 

§§§§

Dougga nous attendait, alanguie sous le (très) chaud soleil d’après-midi. Nous étions les seuls visiteurs !

Sans aucun doute la plus belle des villes antiques du pays, perdue au milieu des oliviers et des champs de blé, la mieux conservée d’Afrique du nord. Puniques, Numides Romains et Byzantins s’y sont succédés…

 

Parmi les monuments qui font la renommée de Dougga se trouvent le mausolée libyco-punique, le théâtre ainsi que les temples de Saturne et de Junon Caelestis.

 

La plaine vue depuis les thermes antoniens ou liciiens

 

Vue du Capitole

 

Le Capitole

 

Arc de Sévère Alexandre

 

Monument emblématique du site, le mausolée est l’un des très rares exemples d’architecture royale numide (IIèmè siècle AC) : il fait 21m de haut. Il fut reconstruit au XXème siècle in situ après qu’un consul britannique l’eut fait transporter en Angleterre en 1852…

L’inscription bilingue libyque et punique qui l’ornait se trouve quant à elle au British Museum: elle a permis de déchiffrer les caractères libyques, un peu l’équivalent de la pierre de Rosette pour les Égyptiens.

Dans tout le site, on a trouvé de nombreux restes, statues, mosaïques, stèles etc…qui sont aujourd’hui au Musée du Bardo à Tunis.

Malgré l’étouffante chaleur, moment magique et inoubliable que cette visite dans le calme champêtre du lieu.

§§§§

Ensuite nous avons visité Sbeitla, fondée par l’empereur Vespasien dans la deuxième moitié du Ier siècle après JC, à quelques 100km vers le sud. Plus chaude encore peut-être…

Les monuments le plus emblématiques sont les temples dédiés à Junon, Mercure et Jupiter (ce dernier au centre : on y accède par les 2 autres), en trois bâtiments contrairement à la coutume.

 

 

§§§§

Enfin le colisée d’el Djem lui aussi du 1er siècle.

Après avoir admiré l’an passé ceux de Puozzuoli près de Naples et celui de Rome, nous avions à coeur de revoir celui-ci visité il y a trente cinq ans.

Il sert aujourd’hui de théâtre en plein air les soirs d’été pour un fameux festival de musique. Il conserve encore de beaux sous-sols et gradins même si bien sûr il a été en partie restauré.

 

 

A côté du colisée, un ravissant petit musée présente des collections de mosaïques magnifiques. A visiter absolument .

 

 

§§§§

 

En remontant plus au nord nous avons terminé par le vieil aqueduc qui partait de Zaghouan vers Carthage, aux porte de Tunis, 132km en tout avec les diverses ramifications.

 

 

Vu aussi Thuburbo Majus tout à côté, un peu décevante car mal entretenue…Alors je passe : cela vous ferait trop!

 

Bref ce séjour a été fort riche en visites, toutes époques confondues, sur des sites vus il y a longtemps. Des souvenirs inoubliables.

§§§§

 

Un mot sur le trail de nuit fait à Zriba, joli village berbère en réfection grâce à la passion de quelques « fondus« , début août à la pleine lune avec 500 participants. 8 km de marche ou 16 en courant : on a marché !

Super expérience dans la bonne humeur et la sueur…sous la protection de la police cependant !

 

 

A l’arrivée une médaille et un casse croûte. Et puis on pouvait acheter une galette de semoule préparée par les femmes, …tartinée de harissa…

Certains l’ont achetée au départ sans doute pour carburer plus rapidement.

 

 

 

Dernières images de Tunisie : le village berbère de Takrouna.

A peine quelques maisons perchées sur un piton. Des chambres d’hôtes et un café traditionnel pour accueillir le visiteur, une minuscule mosquée et quelques maisons.

L’imam avec qui nous échangions quelques mots nous a quittés en vitesse pour grimper au sommet du petit minaret lorsqu’il a entendu un « collègue » de la plaine appeller à la prière !

Son chant a alors envahi l’air pur du village tandis que nous partions… Beaux moments de communion entre les peuples et leur Dieu.

 

 

 

Bizerte, un air de Tunisie

Suivez les pérégrinations de Jasmin grâce à « SPOT » (cliquez)La balise est à jour même quand le texte en dessous est ancien. 

 

Nous sommes depuis 2 semaines à Bizerte, blanche et bleue, si chère au Capitaine.

L’immense marina nous accueille sans même réserver, personnel amical et professionnel. Elle est proche du centre qu’on rejoint à pied ou en taxi, moyen habituel du pays pour se déplacer en l’absence de son propre véhicule.

 

 

La ville garde les traces du protectorat français, et si de nombreux immeubles sont décrépis, il reste encore de beaux immeubles.

 

Souvenirs d’un fils de Bizerte

Le canal traversé par un pont levant, véritable artère de la ville qui ne dort jamais, permet aux tankers et gaziers d’approvisionner le pays.

 

Le plus dingue  ici ? La circulation !

Les automobilistes, taxis et mobylettes roulent à fond, sans crainte du gendarme, denrée rare.

Sens uniques ? Ceinture ? Limitation de vitesse ? Inconnus au bataillon.  C’est plutôt : « je passe, tu t’effaces » ! Circulez, y rien à voir.

Prenez plutôt une calèche en forme d’œuf : on dirait que Cendrillon va en descendre. Kitsch mais inoubliable !

 

 

Les nombreux marchés, couverts ou pas, débordent de fruits et légumes entassés sur des camions ou des étals, branlants souvent, ou posés à même le sol. Monceaux d’olives, piments ou câpres, pêches, pastèques, tomates, aubergines, courgettes et oignons…sans parler des fripes et autres articles de bazar.

Odeurs fortes, couleurs chamarrées, jus puants dégoulinants, tas de restes pourrissants, poubelles débordantes avec des nuées de mouches : on est loin des marchés aseptisés de chez nous !

Tripes ou « roubignoles » de moutons pendouillant à des crochets, têtes au regard vide : tout se consomme, tout se vend dans un joyeux brouhaha. La bête à peine abattue, sa viande trop fraîche est emballée dans un gros papier gris que le liquide peine à crever.

Le poisson est posé sur de la glace, un rien fondante parfois, mais c’est frais en général car approvisionné par les pêcheurs locaux.  Les prix de certains poissons comme la lotte défie toute concurrence : ici les gens n’en mange pas et c’est bradé. Crevettes, poulpes, loups, sardines, roussettes… : on voit toutes sortes de poissons dont la taille parfois frise l’indécence et fait craindre la prochaine pénurie des espèces.

 

 

Tentés par les spécialités locales ?

Goûtez donc un peu à la salade mechouia, délicieux mélange de tomates et piments grillés et hachés, arrosés d’huile d’olive.

On a mangé dans une gargote des calamars grillés accompagnés de frites maison : superbes. Certes l’huile de friture avait quelques heures de vol mais pour 6€ le repas…

 

Le sandwich lablebi est garni de pois chiches, olives, thon : de quoi marcher sans peine lors des randos !

La fricassée est aussi très nourrissante avec son petit pain frit rempli de thon, œuf dur et cubes de patate arrosés de harissa, sauce au piment fort.

A bord nous avons fait des bricks, fines feuilles type filo, garnies d’œufs, thon, oignon, câpres et persil, pliée en deux et frite : c’est un régal de sentir la pâte craquer sous les dents, tandis que l’œuf coule…

Et puis les gâteaux et pains divers : on a tout goûté !

 

Nous avons fait deux fois des randos sous l’égide d’une association locale de protection du littoral. Sympa, toutes générations confondues.

La protection du littoral ? Parlons-en ! Des monceaux de bouteilles et sacs plastiques, canettes, tessons, couches sales, mégots ou sandales dépareillées….on trouve de tout sur les plages et dans certains coins de rues. Pas très avenant ni salubre. Le pays a encore des progrès à faire côté éducation et collecte.

Mais chez nous n’en serait-il pas de même si les ordures n’étaient pas balayées tous les jours ?

 

Les plages sont souvent pourtant très belles, et parfois éloignées, ne sont pas trop fréquentées surtout en semaine.

 

 

 

 

Natation, oursinade (les Tunisiens ne mangent pas les oursins), plongée près d’épaves… de quoi passer quelques belles heures sous le chaud soleil tunisien.

 

Comme vous le voyez, la vie s’écoule tranquillement, entre souvenirs et farniente, à « absorber » un peu de la dense vitalité locale.

Des îles Maddalena (Sardaigne) à Bizerte (Tunisie)

Suivez les pérégrinations de Jasmin grâce à « SPOT » (cliquez)La balise est à jour même quand le texte en dessous est ancien. 

 

Petit résumé du mois écoulé.

4 jours ont suffi mi juin pour convoyer Jasmin en Sardaigne depuis Cap d’Agde. Du coup les loups de mer  ont eu un peu de temps pour buller dans les îles avant de rentrer chez eux.

Durant la traversée remise à jour des connaissances sextant et calculs de hauteur entre deux goulées de rhum.

 

 

 

Au passage ils ont pêché un magnifique thon de 5kg environ qui a fini en papillotes et en filets crus, à la tahitienne

 

on aurait voulu y être…

 

 

Vu aussi des dauphins et même des baleines, choses plutôt rare, au large de Bonifacio.

 

§§§§§

Une fois Jasmin à Olbia (au centre historique superbe, voir ci-dessous), le mousse a rejoint le bord mi-juin avant l’arrivée d’autres amis, venus découvrir en famille les Maddalena, un archipel plein de charme au nord de la Sardaigne.

 

 

Pour la petite histoire, vu dans Olbia une boutique au nom évocateur qui nous a bien fait rire…

 

 

Des nacres en quantité dans les herbiers fournis

 

Petites navigations, baignades, repas, jeux et encore baignades :

la semaine a filé sans qu’on s’en rende compte,

entre 2 anniversaires fêtés en pleine mer, à l’ancre…

 

Bon anniversaire, Audrey 16ans !

 

 

 

 

Au bord de la mer les magnifiques villas aux jardins somptueux et plages privées font sensation…

 

 

Ensuite Capitaine et Mousse ont mis le turbo pour rejoindre le sud de l’Île. La descente a été très difficile avec 20 à 25 noeuds de vent dans le nez et des vagues hachées entre 1,50m et 2,50m. Seize heures de moteur le premier jour et treize le lendemain où par contraste ce fut le calme plat sur l’eau et plus du tout de vent !

 

 

Une partie de la famille est venue en vacances à Villasimius une semaine avec « armes et bagages », à savoir Lucie et Adrien, 19 et 15 mois, et Alice 6 ans. L’occasion de pouponner un peu…

Là encore longues baignades, jeux et rigolade en famille, sous une forte chaleur.

Les repas, à bord ou plus rarement au resto, sont toujours des moments de grand plaisir.

 

A Cagliari, visite du vieux centre et du très beaux musée national d’archéologie. Impressionnante collection unique au monde de statuettes en bronze entre 35 et 5cm de hauteur datant de 3000ans.

 

 

 

§§§§§

 

Les 10 et 11 juillet, nous avons traversé entre Cagliari et Bizerte.

28 heures de trajet par une journée et une nuit magnifiques : sous la pleine lune avec peu de vent (parfois, pas assez d’où moteur) et mer très belle. Température douce la nuit. Des conditions qu’on aime quand il y a 130MN à parcourir.

Sur le chemin peu de bateaux alentours. On n’a rien pêché cette fois mais vu une malheureuse tortue en train de se noyer, peut-être victime d’une hélice ou d’un filet…

 

Nous voici donc en Tunisie pour un mois, ayant un peu changé nos plans initiaux, appontés à la marina de Bizerte…immensément vide !

Fortes chaleurs ici aussi mais un autre monde…

 

Le vieux port du centre ville

Le départ, enfin

Suivez les pérégrinations de Jasmin grâce à « SPOT »(Si parfois la carte apparaît noire, dézoomez pour rétablir l’image. Il semble y avoir un petit bug)

 

Quittant enfin le chantier naval après 5 longues semaines de travaux (et parfois, de mauvaises surprises !), Jasmin dans ses habits neufs a fini par larguer les amarres dimanche 11 juin avec 4 marins à bord.

Direction le nord de la Sardaigne et les îles Maddalena (325MN). Ils viennent de se poser aux îles Lavezzi au sud de la Corse vers 16h ce jour.

 

Avant cela nous avons pu malgré tout profiter de ce séjour prolongé dans le sud de la France pour rencontrer et/ou recevoir des amis et même visiter un peu la région avec eux.

Par ex. le superbe musée d’archéologie sous-marine du Cap d’Agde, dit « musée de l’éphèbe » en raison de la découverte il y a 30 ans tout juste d’un bronze magnifique.

 

 

 

§§§§

Vue aussi la superbe cathédrale fortifiée d’Agde, en basalte, rappel du lointain passé volcanique de la région, et dont l’acoustique est fabuleuse…

 

 

Puis aussi sur le canal du Midi, le pont-canal de Béziers : en haut le canal bordé par ses chemins de halage, dessous l’Orb qui traverse Béziers (mis en service en 1858).

 

 

Juste à coté, les écluses au trafic intense et qui vident ou remplissent la zone à grande vitesse :

 

 

 

Eux ne prennent pas l’écluse.

En flottille serrée, ils parcourent le canal près des berges, prenant garde aux vagues provoquées par les péniches qui leur font des grandes marées…

 

 

 

La cathédrale de Béziers aperçue de loin

 

 

A quelques kilomètres de là sur le canal, le ravissant village du Somail et son pont romain plein de charme…

 

 

Bref une région très riche et variée dont les vins font merveille pour délier les langues…

Une bien agréable façon de terminer le séjour avant de nouvelles aventures.

 

A bientot depuis la Sardaigne !

Jasmin en chantier (naval)

Suivez les pérégrinations de Jasmin grâce à « SPOT« 

 

De retour de Rome, Jasmin est arrivé au Grau d’Agde et depuis 10j, se refait une beauté.

Cette année est en effet celle de tous les gros travaux : carénage après décapage total, voiles neuves, révision du radeau de survie (tous les 3 ans), changement des rotules du gouvernail, révision du moteur et bien sûr, vidange…

Sans compter le graissage des winches,  le remplacement des aussières (grosses amarres qui ont cassé à Rome !), et autres réparations diverses et j’en passe !

 

D’abord sorti de l’eau où il jouait au parc à huîtres (photos ci-dessous), il a été décapé au Kärcher

 

il a été installé soigneusement sur son ber par une drôle de machine, façon « transpalette » géant.

 

 

C’est donc perchés à 3m de haut que nous avons vécu ces derniers jours, accédant au bateau par une échelle… Attention à la marche !

Puis sous sa jupette de protection, il a subi un gommage à l’eau sous pression qui a remis la coque à nu en 3h en ôtant les 7 à 8 couches précédentes de peinture.

 

 

Résultat surprenant et autant de travail évité car le grattage est une activité très pénible !

 

 

 

 

Il a fallu ensuite passer 2 couches d’un produit de protection extrêmement nauséabond et évidemment toxique, lourd à étaler … De quoi se shooter sans problème !

Enfin la peinture antifouling 2 couches aussi ! Noir c’est noir et ça adhère bien !

 

Mais le Capitaine a voulu aussi nettoyer la partie émergée pour la rendre plus blanc que blanc. Une vraie ménagère aux petits soins : on ne l’arrête pas !

 

 

Quelle joie d’enlever le ruban de protection à la fin des travaux de peinture !

Un peu comme on enlève le bolduc autour d’un cadeau…

 

 

 

 

 

 

Mais le plus jubilatoire fut d’observer notre voisine anglaise refaire une beauté aux  2 cigognes de sa péniche !

 

 

 

 

Heureusement pour tenir le coup nous avons déniché une superbe fabrique artisanale de tielles (recette), spécialité de la région sétoise.

Ces délicieuses tourtes au calamar (et/ou poulpe) en sauce tomate regonflent le moral des troupes : un pur délice !

 

 

Bref comme vous le voyez il faut beaucoup d’huile de coude pour nettoyer un bateau !

 

Mais quel plaisir de naviguer…à la campagne !

 

 

Quelques images de la traversée Rome – Bastia…

Suivez  Jasmin sur « SPOT »

 

Prises par l’équipage au cours de la traversée entre Rome et Bastia 140MN, elles vous donneront un aperçu du voyage.

Derniers réglages en haut de mat avant le départ…sous l’œil attentif de l’équipage

 

Vue du port d’Ostia depuis le mat. 

 

puis surprise en pleine mer : un banc de dauphins joue autour du bateau…

 

La vie à bord s’organise. Certains ont malheureusement durant quelques heures la tête dans le seau au départ du voyage ; d’autres s’initient à la barre ou au matelotage ; d’autres « bullent » allongés sur les banquettes ou prennent des photos …avant de se retrouver autour de la table pour les repas…

Le Capitaine, relax, se laisse mener en bateau…

 

 

Arrivée à Bastia mardi 2 mai de bon matin après un bref repos dans une crique un peu plus au nord…

 

Mardi soir 2 mai une partie de l’équipage avait déserté le bord cependant qu’un nouveau marin prenait place sur Jasmin pour un départ le soir même « vers » Nice afin de longer les côtes à l’abri du fort mistral.