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Depuis Salerne nous avons fait un crochet en bus le long de la magnifique côte amalfitaine en surplomb au-dessus des flots.

Deux jardins magnifiques sont à visiter à Ravello, village chic perché au dessus d’Amalfi et lieu de villégiature.

Le jardin Villa Ruffolo accueille chaque année depuis 64ans un festival de musique renommé, classique et jazz.

Lors de notre passage le jardin n’était pas au top de sa beauté car en plein remaniement à cause de la construction sur la pente de l’estrade de l’orchestre (les consignes de sécurité chères à certains n’étaient pas vraiment respectées… !).

Très classique, fait surtout de massifs (impatiens, agapanthes, hortensias), de pins parasol, oliviers, palmiers… et autres arbustes, il vaut surtout par les points de vue époustouflants sur la côte et la mer.

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Le deuxième jardin est celui d’un hôtel de charme haut de gamme : la Villa Cimbrone.

De fondation ancienne (XIème siècle) le bâtiment a été maintes fois remanié mais garde une empreinte moyenâgeuse un peu « mystérieuse ». Greta Garbo la Divine y abrita ses amours en 1938…

Dès l’entrée on visite le cloître, tout fleuri, qui descend vers une « crypte » donnant sur la mer : un piano trône, occasion d’agréables concerts dans la fraîcheur du lieu.

Peuplé de statues en bronze ou pierre, abritant de nombreux temples et grottes ou autres constructions en rocaille très en vogue au début du siècle dernier, le jardin a un charme certain.

Très varié il présente de grandes prairies, des bois de pins, une roseraie, des pergolas… qu’on parcourt grâce à des chemins de terre ou dallés, où le visiteur se perd avant de profiter du salon de thé, face à la mer, ou d’un repos mérité sur un des bancs, au milieu des géraniums, lavandes, agapanthes ou rosiers…

Il est réputé pour son long belvédère, dit « terrasse de l’infini », bordé de bustes de marbre un peu « kitch » il faut bien le dire.

La vue est splendide et impressionnante sur la vallée cultivée et la mer !

Une partie du jardin est réservée aux seuls clients de l’hôtel. Mais équipé d’un héliport, il est un lieu de réception exceptionnel : un mariage se préparait lors de notre passage et le personnel s’activait…

Pas déplaisant n’est-ce pas ?

Au final, nous avons passé de magnifiques heures dans ces deux jardins avant de revenir à Amalfi, 4km, le mousse en bus, le Capitaine plus courageux, par les chemins de traverse…

Revenus au bord de la mer nous avons alors dégusté une délicieuse glace au « citron d’Amalfi », (IGP*) gros fruits très juteux d’où l’on tire entre autres le limoncello, fameuse liqueur jaune d’or.

*Indication Géographique Protégée

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Lisez ci-dessous les précédents articles sur nos visites et autres…

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Le temple d’Athéna à Paestum

Après Naples, nous avons fait escale dans de nombreux ports en redescendant vers la Sicile.

A Castellammare di Stabia (où nous étions déjà venus début juin) nous avons visité deux grandes villas antiques victimes de l’éruption du Vésuve comme leurs sœurs Pompéi et Herculanum en 79 de notre ère.

Nous avons aussi assuré les corvées : avitaillement (6km sous le soleil avec la « charrette » du marché !), gaz et lessives. Ça fait partie des réjouissances entre deux visites.

Puis  nous avons continué la route le long de la côte amalfitaine jusqu’à la ville de Salerne qui nous a servi de base arrière pour les visites suivantes. En train ou en bus.

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Paestum : je crois que c’est pour moi le plus inoubliable des sites que nous avons visités.

Le train nous a déposés à 700m du site au milieu de nulle part. Il faisait un peu gris mais très bon ce jour-là. La ville grecque est au bout de la route, en pleine campagne. Autrefois près de la mer mais la plaine s’est chargée d’alluvions.

Fermez les yeux 5mn pour humer dans l’air les parfums de blés moissonnés et des foins coupés, l’odeur des vaches… ; des chants d’oiseaux, les tourterelles qui roucoulent, quatre chatons qui miaulent sous des branches fleuries. Une quiétude infinie, une douce impression de sérénité…

Des arbres très souvent le long des ruines où se poser à l’ombre, des herbes folles et fleurs des champs…

On a visité le site sans y être seuls mais sans bousculade. Les groupes passent vite…

Temple d’Héra II et détail de l’intérieur (ci-dessous)

Dans le musée de magnifiques pièces : les métopes (décors extérieurs des frontons des temples) d’un temple situé à 10km de là), des peintures de tombes, des poteries…

Peinture de la tombe du plongeur (voir couvercle dans l’article 15 sur Naples)

Les temples d’Héra I (à G) et II

Un site plein de charme…

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N’oubliez pas les articles ci-dessous, petits résumés de nos précédentes visites.

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Depuis plusieurs jours nous n’échappons pour ainsi pas à la situation : chaque après-midi le ciel qui a commencé à se couvrir le matin se liquéfie sous l’orage, nous arrosant copieusement.

Alors je vais vous raconter…

Quel bonheur d’arriver dans une crique pour se baigner…puis s’apercevoir que de minuscule moustiques voraces en veulent à votre peau, puis très vite voir s’illuminer le ciel de beaux éclairs pas rassurants, puis entendre beugler le tonnerre et s’écraser une puis deux, puis cent gouttes plates et drues…Courir fermer les hublots, puis voir la mer atone à l’arrivée se mettre en boule sous le bateau, qui roule comme un homme soul, puis décider de prendre le large pour rentrer au port très proche, puis arriver au quai, le premier venu puisque personne ne vous y attend, tenter de s’amarrer mouillés jusqu’à l’os malgré le ciré…malencontreusement prendre un bout(t) dans l’hélice et devoir plonger sous la coque pour tenter de l’ôter sans le couper (Ils ne seraient pas contents au port!) puis quand enfin on y arrive et qu’on se croit prêts à rentrer au chaud, bien arrimés, un type déboule et vous dit « impossible de rester ici, il faut aller en face à telle place.. ». Alors vous larguez les amarres et allez en face recommencer la manœuvre en priant le ciel que le bout(t) ne se retrouve plus sur votre route, et enfin vous tirez sur la pendille (le système de filins sous-marins en vigueur ici) pleine de boue souvent ou pire…et enfin , enfin être attaché au quai pour la nuit.

Et sous le bimini (l’auvent) qui pleure car trop vieux et plus étanche, finir par boire une bière avec le gars du port qui a donné un coup de main…

Puis s’affaler dégoulinant, fatigué, dégoûté et les yeux mouillés : de pluie vraiment ?

Jasmin (à D.) au port enfin à Maratea.

Ah les joies du bateau !

Ci-dessous lisez les articles de nos précédentes visites…

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Capitale de la Campanie mais aussi celle de la débrouille et la magouille… !

A peine arrivés à quai avec l’annexe un comité d’accueil nous faisait comprendre qu’il allait surveiller l’embarcation…Âpres négociations avec un peu d’italien et beaucoup de jeux de mains, on s’est mis d’accord sur un prix ! Et chaque soir on a payé notre dû alors même qu’on était au mouillage dans la baie car refusés à notre arrivée sous l’orage par les trois marinas de la ville. Bon c’est vrai un matin le « gardien » est venu frapper sur la coque à 5h car l’ancre avait bougé et on allait cogner les voisins…

Voilà pour notre premier contact avec la ville.

On a aussi goûté au métro et au funiculaire car elle est très étendue, pleine d’escaliers car bâtie sur des collines, et grouillante… et sale. Le ramassage des poubelles ne semble pas une priorité et chacun laisse ses ordures n’importe où…et ça s’accumule !

Mais par contre elle compte de magnifique et riches musées, églises et jardins…

Commençons par le jardin botanique, notre première visite.

Un jardin sec méditerranéen très réussi

Le secteur des fougères présente notamment de très beaux spécimens de Dicksonia, fougères arborescentes

La grande serre centenaire…

Le jardin botanique est bien entretenu et sert de terrain d’étude aux élèves de l’école d’horticulture.

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Après les choses de la terre, celles de l’esprit.

Le palais Capodimonte sur la colline du même nom dominant la ville est un bijou dans un écrin de verdure.

Il abrite notamment la collection Farnèse, exceptionnel ensemble d’œuvres qui englobe tous les arts.

Elle comporte des peintures, des sculptures, des dessins, des livres, des bronzes, des meubles, des camées, des pièces de monnaie, médailles et de nombreux autres objets à caractère archéologique…réunies par la famille Farnèse.

Bruegel, Raphael, Titien, Michel-Ange, El Greco, Carrache, Cranach etc…et jusqu’à des artistes contemporains (Warhol…) y ont leur place. 

Les pièces d’habitation montrent tout l’éclat de la vie de ses occupants…

Une promenade dans l’immense parc de 240ha termine la balade avec fraîcheur…Mais ici les mollets chauffent tant sont étendus le musée et son parc.

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Le lendemain par le funiculaire nous avons pris d’assaut le quartier perché du Vomero et notamment la chartreuse San Martino. 

Ce chef-d’oeuvre du baroque napolitain, dont les terrasses offrent de magnifiques points de vue, vaut vraiment le détou. Il présente outre les pièces d’habitation et les jardins, des collections de peintures du XIVème, une belle crèche napolitaine et un petit musée maritime.

Passionnant.

Derrière le port industriel, l’ombre du Vésuve… 

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Dernier jour de visite, cerise sur le gâteau : LE musée d’archéologie de Naples. Un immense ensemble comptant la plus grande partie des découvertes de Pompéi, Herculanum, Paestum…

De nombreuses pièces majeures, statues de marbre ou bronze, fresques ou mosaïques : un régal pour les yeux…

A voir absolument.

Le doriphore ou porteur de lance du célèbre sculpteur grec Polyclète (vers 440 avant JC)

Mercure

La bataille d’Alexandre, immense tableau de 4mx3m ! (mosaïque)

Deux petits coqs si parfaits et vivants, en mosaïque si fine qu’on reste sidéré devant l’adresse des artistes !

Le plongeur – Peinture sous le couvercle de la tombe du défunt – Paestum

Il est impossible de s’imprégner de tout…mais on ressort ébloui devant tant de beauté !

La visite des rues alentour, notamment la Via dei Tribunali, si vivante, fait reprendre contact avec la vie…

Le linge aux fenêtres…

Ne pas oublier la pizza, celles des familles Sorbillo notamment…

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A la fin de ce survol de Naples, vous comprenez qu’on y a passé de merveilleuses heures.
C’est une ville pleine de vie très attachante au fond !

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Après cette belle semaine avec nos amis nous avons voulu retourner vers l’île d’Ischia dont nous n’avions pas exploré toutes les facettes. C’est une île volcanique dont les sources thermales sont réputées.

Au mouillage dans diverses baies abritées, nous avons pu nous reposer, visiter et même pêcher 2 dorades calées sous le bateau : une première en Méditerranée depuis l’an passé !

D’abord les magnifiques jardins de la Mortella, qu’on classerait comme « jardin remarquable » en France et ici en Italie, répertorié dans les « grandi giardini ».

Inspiration andalouse…

 
Il fut l’oeuvre de toute la vie de lady Walton, épouse du grand compositeur anglais William Walton (1902-1983). Le couple vécut dans cette propriété dès 1949.

Aujourd’hui la Fondation qui le gère propose toujours des concerts dans le petit auditorium du jardin.

Douze hectares de verdure qui se gagnent au détour d’escaliers, de petits chemins et de rampes pour accéder aux divers dénivelés de la colline.

L’eau est partout présente dans les bassins, fontaines ou rigoles… et entretient la fraîcheur.

La serre aux nénuphars Victoria

Des curiosités ponctuent le parcours tels le temple du Soleil (ci-dessous), le bassin aux crocodiles (des bêtes inoffensives en bronze rapportées de Birmanie !) ou le pavillon thai…

Nous avons beaucoup apprécié cette promenade où le visiteur est invité à profiter du calme, de la vue sur la mer ou le joli port de Forio, assis à l’ombre des arbres…

Et puis le lendemain c’est dans les sources d’eau chaude que nous avons pris notre bain au sud de l’île dans la baie de la Sorgente (la résurgence), l’annexe remontée sur les rochers comme l’arche de Noé sur le Mont Ararat…

Au mouillage au pied de la falaise nous avons eu juste à faire le trajet de 150m vers les cratères aménagés au milieu des rochers, où l’eau de mer se mélange en continu à la source brûlante qui sourd des entrailles de la terre, créant un délicieux contraste…

L’eau brûlante alimentant les « bains » (remarquez le soufre jaune sur la roche…)

 
L’île attire de nombreux touristes pour ses eaux, son calme, sa verdure : de fait sa réputation est méritée. Nous avons beaucoup aimé ce séjour.

Durant le retour vers Naples nous avons essuyé un énorme orage dans la baie de Pozzuoli accompagné de trombes d’eau bien glacées. Il semblait se cogner aux collines alentour et tournait dans la baie, nous rattrapant sans cesse.

A l’arrivée aucun port n’a voulu de nous : nous nous sommes mis au mouillage ! Et là…

suite au prochain numéro

Lisez les articles précédents de nos visites en Sicile ou en remontant le long de la botte…

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Pendant une semaine nous avons arpenté la baie de Naples depuis l’île de Procida avec des amis qui avaient loué 3 bateaux. Nous étions 34 en tout sur les bateaux.

Nous étions arrivés deux jours avant et en avons profité pour visiter cette petite île à l’ouest de Naples.

La surprise est de taille lorsqu’on passe au pied du piton rocheux qui garde la ville et surplombe la mer

On mouille dans la baie au delà du petit port réservé aux pêcheurs, face au vieux village Les petites maisons colorées, imbriquées les unes dans les autres, sont superbes au soleil…

Le bar, centre de la vie du village dans le film, est devenu célèbre…

Procida  : l’île du cinéma.

« Le facteur«  (il postino)  Film qui raconte un épisode de la vie de Néruda en exil, fut tourné en partie sur les quais de ce petit port ainsi que sur une des plages de l’île. Avec Philippe Noiret (Pablo Neruda) et Massimo Troisi (le facteur).

D’autres films ont vu le jour ici notamment « Le talentueux Mr Ripley » avec Matt Damon, remake de Plein Soleil (1960), film de René Clément avec Alain Delon, Maurice Ronet et Marie Laforêt, une nouvelle adaptation du roman homonyme de Patricia Highsmith.

Après Procida c’est Capri qui nous attendait.

Bref passage à la marina pour monter par le funiculaire voir le coeur de la ville : beaucoup trop de touristes, multiples boutiques de luxe, certes dans un lacis de petites rues mais de notre point de vue, sans grand intérêt.

Beau point de vue cependant…

Capri a sans doute d’autres richesses à faire découvrir mais nous n’avons pas eu assez de temps pour les voir.

Le soir nuit au mouillage devant les falaises sauvages qui bordent l’île à l’est.

Mais « Capri c’est fini, je ne crois pas que j’y retournerai un jour… » 

En effet départ le lundi vers Amalfi et ses falaises de calcaire. En chemin pose déjeuner (à bord)… à Positano bien sûr, accrochée elle aussi à ses rochers !

Amalfi fut dès le Xème siècle une république indépendante battant monnaie et dominant le trafic maritime. Elle fut la première à avoir des fabriques de papier en Europe. De nombreux moulins à papier en témoignent même s’ils ne fabriquent plus aujourd’hui.

Curiosités et découvertes :

Duomo Sant’ Andrea, patron d’Amalfi

Mardi cap sur Sorrente de l’autre côté de la péninsule, dans la baie de Naples. Les plages sont privées : on nous interdit de débarquer. On ne verra rien de la ville du coup !

Le soir nous avons prévu de fêter l’anniversaire de l’Amiral de la flotte : les équipages rivalisent d’idées pour le dessert qui sera partagé à la nuit tombée sur la plage… qu’on rejoint en catimini avec les annexes comme des voleurs.

Jasmin apporte un magnifique gâteau au chocolat pour 34 personnes et les bougies « pirates » qui vont avec.

Le lendemain à l’aube départ vers Castellammare di Stabia pour aller visiter Herculanum et Pompéi.

La vie s’est arrêtée en 79 après JC lors de l’éruption du Vésuve, détruisant aussi trois autres villes : Stabia, Oplontis et Boscoreale.

Une plongée dans l’Histoire empreinte d’émotion et de tragédie, mêlant raffinement et vie de travail.

(Lire le passionnant ouvrage de l’historien spécialiste de la Rome antique, Robert Etienne « Pompéi »)

Le forum, au coeur de la vie de la cité

La basilique avec des statues de bonze d’artistes contemporains.

Taverne avec son comptoir. Des jarres remplies d’huile, vin, olives ou anchois… attendaient le chaland.

Les rues avec les traces des roues des chariots et les plots pour traverser à sec

Raffinement des maisons patriciennes aux fresques peintes sur les murs, le fameux rouge pompéien

Une visite passionnante tant il y a à découvrir sur ce site. Mais nous y reviendrons sans doute pour finir la découverte d’autres lieux.

Herculanum est aussi très intéressante bien que peu de vestiges aient pu être vraiment mis à jour étant ensevelis sous la lave et non sous la cendre comme à Pompéi.

Des réserves de trouvailles…

Une visite passionnante autant qu’émouvante.

Le lendemain direction l’île d’Ischia à la voile avec au milieu du trajet une belle averse qui nous a fait grelotter sous les parkas !

Nous avons laissés les marins le samedi après un mémorable concours de miss suivi d’un apéro-ponton le vendredi soir : ils reprenaient un ferry vers Naples et l’avion le dimanche matin.

Bye bye Artevoile : à l’année prochaine ?

Mais lisez donc les articles relatant nos visites sur la Sicile et le sud de l’Italie (ci-dessous).