Ultime étape de la saison 2016, Rome, la Ville Éternelle (Retrouvez la position de Jasmin en cliquant sur « Spot« ).

Le Capitaine a terminé seul début septembre le voyage entre Naples et Rome (environ 140MN) en s’offrant un beau détour par les îles Pontines.

Arrivée au port d’Ostia, à l’embouchure du Tibre, dernière étape pour Jasmin et son fier Capitaine.

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Ne manquez pas de lire les derniers billets glissés à votre intention ci-dessous en cette fin octobre avant la pause de l’hiver. En tout 27 chapitres et quelques digressions vous racontent notre périple napolitain. Bonne lecture.

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Jasmin va en effet hiverner jusqu’en avril à Rome, un excellent lieu de visites, avant un méga nettoyage de printemps bien mérité et pour prime des voiles, une capote et un bimini neufs.

A bientôt.

Merci à vous tous qui avez suivi nos aventures marines sur le site ou à bord. Nous sommes heureux de les partager !

Nous espérons vous retrouver l’an prochain.

Prenez soin de vous et bon vent !

Des images : plus éloquentes qu’un long discours et pour ne pas laisser s’éteindre tout de suite la magie du voyage…

Palinuro et ses belles falaises blanches…

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Un Canadair au dessus de la marina di Stabia

Malheureusement on en a beaucoup vu cet été , faisant le remplissage juste derrière le môle…

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Le port de Pompéi, aujourd’hui séparé de la mer par un talus de 10m de haut de cendres et de pierres

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Joane, nouveau capitaine de Jasmin avec le fidèle Coco

A la piscine , face au Vésuve…

Pause ou pose d’une demoiselle…

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Pour finir en se léchant les babines…

Pozzuoli, ville antique fondée par les Grecs en 531 AC à l’ouest de Naples dans une baie magnifique.

Pouzzoles en français qui nous a donné la pouzzolane, ce matériau volcanique décoratif utilisé au jardin notamment. Port de Rome jusqu’au début du 2ème siècle après JC elle déclinera au profit d’Ostie, à l’embouchure du Tibre.

Toute la zone, appelée « champs phlégréens », est en effet toujours hautement volcanique. Elle est affectée par le phénomène de « bradésysme » : son sol s’élève et s’abaisse régulièrement de plusieurs mètres, lors d’épisodes souvent accompagnés d’une multitude petits séismes.

En témoigne la Solfatara, cratère dénudé et produisant des jets brûlants de soufre très malodorants.

La Solfatara (« la soufrée »),

Mais c’est aussi pour l’ immense amphithéâtre Flavius, 3ème au monde par sa taille, qu’on visite la ville.

Galeries sous les gradins où étaient gardés hommes et bêtes

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Deux lieux où s’expriment la violence de la nature et des hommes, qui font réfléchir à la fragilité de l’Homme.

Avant de quitter Naples nous avons parcouru les citernes souterraines creusées par les Grecs puis les Romains. Elles ont alimenté la ville en eau durant des siècles!

Un réseau étonnant de galeries parfois si minces que les gros n’y passent pas !

Au fond de la baie de Naples, la ville de Castellammare du Stabia, une des cinq villes-martyres du Vésuve en 79.

Aujourd’hui une ville industrielle sans grand intérêt mais une des marinas les plus agréables du sud de l’Italie, proche de Naples et de Pompéï notamment, accessibles par le trainv (Mais gare aux pickpockets !)

Mais elle propose une balade inédite : un téléphérique conduit en 8mn en haut du Monte Faïto, qui surplombe la ville, couvrant près de 1100m de dénivelé.

Les deux marinas de Stabia et le Vésuve en fond…

Les paysages sont superbes sur la plaine napolitaine et le Vésuve.

La marina di Stabia où Jasmin a fait relâche cet été…

La-haut la forêt de hêtres (qui a donné son nom au lieu) attend les promeneurs avec des sentiers et des zones de pique-nique aménagés.

Une autre façon de découvrir la région napolitaine.

Avec nos enfants et petits-enfants en vacances nous avons parcouru la région napolitaine encore une fois et grimpé notamment au sommet du Vésuve.

Un bus quasi militaire nous emmène presque au sommet du volcan (1281m) d’où une petite marche sans danger conduit au cratère.

Ce jour-là en haut ça décoiffait : un vent du nord violent et froid nous attendait rendant la balade un peu désagréable…mais cela n’a pas découragé les comédiens… !

Et quel paysage : somptueux autant qu’aride et âpre !

Nous avons même eu droit à un éboulement des parois trop raides dans un bruit d’enfer et dans la poussière. Impressionnant !

Une balade inoubliable en famille.